Tempête
Quand la tempête souffle
Mes pensées s’envolent
Laissant vide l’espace de mon esprit
Quand le Terre gronde et danse
Mon corps vacille
Laissant cette sensation de stabilité s’évanouir
Quand la pluie du ciel s’en vient
Mon corps, lavé de ses scories
Léger, se sent, libéré de futiles croyances
Quand la foudre fend le ciel
La moindre de mes cellules s’électrise
Et trésaille, au feu du ciel descendu
Quand en ma présence, je suis
Le feu, je suis
Le vent, je suis
La Terre, je suis
L’eau, je suis
AVEC
EN
H – 10 juillet 2014
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