Mots d'autres  Auteurs

Textes, du plus ancien au plus récent

1/ Oma et Art                                                                                  21/ Guerrier de l' Arc-en-Ciel

2/ Sagesse Amérindienne                                                       22/ Les 4 éléments et la parole

3/ Snow, ou Plume Blanche                                                     23/ 10 Citations Sioux

4/ No Eyes                                                                                       24/ Acheter le ciel, la chaleur de la Terre ?

5/ Nos Tresses                                                                               25/ Je me suis échappé...

6/ Dialogue au coeur du Silence                                            26/ Témoignage d'une Grand Mère

7/ Rûmi, "Danse"                                                                        27/ Éclore en conscience  

8/ Osho, "La Danse"                                                                  28/ Albert Einstein

9/ Le retour des prêtresses                                                      29/ Le bon usage des crises (Christiane Singer)

10/ Oma 9 mai 2014                                                                   30/ Le Chaman parle...

11/ Sri Nisargadatta Maharaj                                                   31/ Mission de Vie ?

12/ Devient l'eau                                                                           32/ Inquiétude

13/Sri Nisargadatta Maharaj

14/Sri Nisargadatta Maharaj (vidéo)

15/ Aux Hommes Nouveaux

16/ Etre Amour

17/ Le Chanteur

18/ Sri Nisargadatta Maharaj

19/ Prendre soin de la Terre

20/ Semences d'étoiles

dim.

09

juil.

2017

32/ Inquiétude ?

Sois sans inquiétude.

Quoi qu’il arrive, il n’y a pas d’erreur.

La vie est une aventure.

Si tu tiens à la sécurité, il te faudra renoncer à la liberté.

Et si tu veux être libre, il faudra accepter de vivre dans l’insécurité.

Mais si tu fais confiance à la vie sans chercher à la contrôler, elle se chargera de tout.

 

FB

 

jeu.

06

juil.

2017

31/ Mission de Vie ?

Nassrine Reza: "MA MISSION DE VIE ? "

Q : Quelle est ma mission de vie ?

R : Toute quête est mentale. Si vous cherchez votre mission de vie, c’est simplement parce que vous êtes aveuglé par des imperfections illusoires à votre sujet. Vous n’avez aucune tâche à accomplir, parce que tout se produit naturellement. Nul besoin de parfaire quoi que ce soit, car l’équilibre se maintient à chaque instant. Là où vous percevez du mouvement, de l’évolution ou un but à atteindre, j’observe l’immuabilité du moment présent, dans lequel la perfection de la vie s’y reflète inlassablement.

Q : À quoi est-ce que je sers alors ?

R : La vie se suffit à elle-même. Cessez donc de chercher, car toute tentative est vaine. Au lieu de courir après vos désirs, ayez le courage de rester assis et regardez ce qui a lieu au-delà du voile de vos illusions. Ainsi, toute quête s’évanouit, permettant à la splendeur de votre essence d’éclore en un seul instant.

 

lun.

03

juil.

2017

30/ Le Chaman parle....

Le chaman parle :
Une grande part de ton pouvoir vient du lien que tu entretiens avec les animaux et la nature.
Si tu restes enfermée trop longtemps au-dedans de ta demeure tu t’éteins, mais si tu vas à l’extérieur, en respirant, tu retrouveras ton pouvoir personnel.
Ce simple mouvement réveillera ta nature magique et spirituelle endormie.
Permets à la lumière du soleil, de la lune et des étoiles de faire émerger tes mémoires anciennes qui sont restés en veilleuses. Souviens-toi de l’époque de tes pouvoirs magiques et utilise les pour le bien de la planète et des gens.
Reprends ta mission de départ et crois en toi et en ton lien divin… Nous avons besoin de toi, de tes dons et de ton service pour faire avancer plus vite l’émergence de la Nouvelle Vie ici-bas !
Merci de t’éveiller à ton toi-même.

 

Rebakkah la Louve Chamane

 

 

 

dim.

20

nov.

2016

29/  Le bon usage des crises

Le bon usage des crises par Christiane Singer

Extrait d’une conférence prononcée le 15 juin 1991 à Mirmande à l’occasion du dixième anniversaire du Centre Dürckheim. Edition Terre du Ciel, 1994.

 

J’ai gagné la certitude que les catastrophes sont là pour nous éviter le pire. Et le pire, comment pourrais-je exprimer ce qu’est le pire ? Le pire, c’est bel et bien d’avoir traversé la vie sans naufrages, d’être resté à la surface des choses, d’avoir dansé au bas des ombres, d’avoir pataugé dans ce marécage des on-dit, des apparences, de n’avoir jamais été précipité dans une autre dimension. Les crises, dans la société où nous vivons, elles sont vraiment ce qu’on a encore trouvé de mieux, à défaut de maître, quand on n’en a pas à porté de main, pour entrer dans l’autre dimension. Dans notre société, toute l’ambition, toute la concentration est de nous détourner, de détourner notre attention de tout ce qui est important. Un système de fils barbelés, d’interdits pour ne pas avoir accès à notre profondeur.

C’est une immense conspiration, la plus gigantesque conspiration d’une civilisation contre l’âme, contre l’esprit. Dans une société où tout est barré, où les chemins ne sont pas indiqués pour entrer dans la profondeur, il n’y a que la crise pour pouvoir briser ces murs autour de nous. La crise, qui sert en quelque sorte de bélier pour enfoncer les portes de ces forteresses où nous nous tenons murés, avec tout l’arsenal de notre personnalité, tout ce que nous croyons être.

Récemment sur une autoroute périphérique de Berlin où il y a toujours de terribles embouteillages, un tagueur de génie avait inscrit sur un pont la formule suivante : « Détrompe-toi, tu n’es pas dans un embouteillage, l’embouteillage c’est toi ! ».

Nous sommes tous spécialisés dans l’esquive, dans le détournement, dans le « divertissement » tel que le voyait Pascal. Il n’y a au fond que cette possibilité, subitement, de se dire : « Oui mais tout cela, tout ce qui m’enserre, tout ce qui m’étrangle, mais c’est moi ! ».

Ce serait une erreur de croire que la crise est quelque chose de normal, d’inhérent à la nature humaine. Il y a de nombreuses sociétés, toutes les sociétés traditionnelles, qui ont une tout autre façon d’agir. Un ami anthropologue m’a rapporté ces mots d’un Africain qui lui disait : « Mais non monsieur, nous n’avons pas de crises, nous avons les initiations ». Et  les initiations sont la ritualisation de ces passages, c’est-à-dire cette possibilité pour l’homme de passer d’un état d’être naturel, premier, à cet univers agrandi, où l’autre versant des choses est révélé. Et il s’avère que toutes ces initiations, dans leur incroyable diversité, et inventivité – parfois des rites d’une cruauté qui nous paraît insoutenable - ont tous la même visée : mettre l’initié en contact avec la mort, le faire mourir ; le vieux principe du « meurs et deviens ». que ce soient les rites des aborigènes australiens qui enterrent les néophytes pendant trois jours sous des feuilles pourries, ou les épreuves auxquelles sont soumis les jeunes Indiens, il n’y a pas un rite pourtant qui soit aussi cruel que l’absence de rite. Et la vie n’a pas d’autre choix que de nous précipiter ensuite dans une initiation, cette fois sauvage, qui est faite non plus dans l’encadrement de ceux qui nous aiment, ou qui nous guident, de chamans, ou de prêtres ou d’initiés, mais dans la solitude d’un destin. Ces catastrophes qui ne sont là que pour éviter le pire ! Il peut vraiment paraître très cynique de parler ainsi. J’ai connu cette période où lorsqu’on entend une chose pareille, et que l’on est soi-même plongé dans un désespoir très profond, ces propos paraissent d’un cynisme insupportable. Et pourtant quand on a commencé à percevoir que la vie est un pèlerinage, quand à une étape de ce pèlerinage on regarde en arrière, on s’aperçoit vraiment que les femmes, les hommes qui nous ont le plus fait souffrir sur cette terre, sont nos maîtres véritables, et que les souffrances, les désespoirs, les maladies, les deuils, ont été vraiment nos sœurs et nos frères sur le chemin. Je sais que cela peut avoir une coloration insupportable quand on est dans une phase de désespoir, mais c’est tellement fabuleux quand on s’arrête en cours de route, quand on regarde en arrière, et qu’on se dit : « mais oui, c’est vrai ! ».

 

Comment se joue la crise ? On pourrait utiliser ce mot de retournement, de renversement. Qu’est-ce qui se passe dans la crise ? Il se passe à peu près ceci qu’une voix s’adresse à vous, et vous dit : « Tu as construit une vie, oui bravo, eh bien détruis-la ; tu as construit une personnalité, formidable, bravo, détruis-la ; tu t’es battu, tu as été courageux, un courage extraordinaire, mais l’heure de la reddition est venue,  à genoux ! ». Ou encore, comme pour Abraham : « Tu as mis un fils au monde, bravo, rends-le moi ! ». Tous ces moments de l’intolérable, de l’inacceptable, qui dans l’ordre des choses vécues, dans l’ordre de l’immédiat sont le scandale absolu ! Rends-mois ce que je t’ai donné ! Pour moi la plus extraordinaire histoire qui les symbolise toutes est celle de Job. J’adore cette histoire de Job, j’y reviens toujours. Job a été vraiment le serviteur de Dieu, l’homme de tous les succès. Une vie accomplie, entourée de richesse, de troupeaux de bœufs, ses femmes, ses fils, ses serviteurs, une richesse que Dieu bénie. Ce même homme, Job maudit, Job sur son tas d’immondices qui gratte ses ulcères, Job qui ne lâche pas prise, qui dit : « Je m’adresserai à Toi mon Dieu, jusqu’à ce que Tu m’expliques la raison qui me ferait accepter l’inacceptable, j’attends de Toi une réponse qui me convainque ». Et cette interrogation qui le pousse pendant des jours et des semaines et des mois, à ne pas lâcher prise et cette phrase qui est pour moi  une des phrases les plus poignantes : «  Pourquoi ne peux-Tu pas donner raison à l’homme contre Toi-même ? ».

Aussi longtemps que Job demande à Dieu de paraître devant lui, et de lui expliquer l’inexplicable, de lui dire la raison de toute cette horreur, de tout ce désespoir, de tout ce désastre d’une existence : « Viens ! Viens, je n’ai plus que la peau sur les os lui dit-il, viens, parle-moi ». Dieu ne vient pas, Dieu ne parle pas. Arrivent tous les amis, tous les copains, les thérapeutes, qui lui expliquent : « Ecoute, je suis persuadé que tu as fait une erreur, écoute, réfléchis, souviens-toi ! » Mais Job ne les écoute pas, le brouhaha des voix dehors.

« Réponds-moi, réponds-moi ! » Et quand l’ami Elihu lui a dit : « Mais non, tu vas voir, Dieu ne répond pas ». A ce moment-là, Dieu répond, contre toute attente Dieu répond. Mais Dieu répond à côté de la question. Dieu n’évoque pas un seul instant toute la vie de Job détruite, tous ses espoirs anéantis, sa famille, tous ceux qu’il a aimés, Dieu parle du ciel et de la terre, des oiseaux et des arbres, Dieu parle de la mer, de l’océan et des plages. Dieu répond à côté. Et voilà que se passe l’inattendu. Job, loin d’être scandalisé par cette réponse, qui n’en est pas une dans l’ordre de la logique, voit subitement tout d’un autre lieu. L’entière création, d’un autre lieu, d’un lieu où tout le drame d’une être ne fait même pas un remous à la surface du créé. Un lieu de l’univers agrandi, et job dit : « Mon Dieu je ne te connaissais que par ouï-dire, mais maintenant je t’ai vu ». Et Job est un autre homme. Et à partir de ce moment-là par une ironie divine, tout lui est rendu puisqu’il n’a plus besoin de rien. C’est au niveau de cette histoire de Job, que j’ai pour ma part rencontré le travail de Dürckheim. Dans une crise vraiment très profonde. Après avoir traversé une existence très préservée, très occupée à éviter les naufrages, toute cette adresse à passer entre les catastrophes, entre les blessures, et subitement, après quinze ans de mariage, l’arrivée d’une autre femme, l’arrivée dans une existence préservée d’un autre être, qui du jour au lendemain détruit l’univers que vous vous étiez construit. Et la traversée, pendant deux ans, trois ans, de la solitude de l’abandon, dans un pays étranger, dans un village au bout du monde, et la rencontre du travail de Dürckheim et d’une remarquable femme, son élève, qui travaillait avec la voix. Alors que j’attendais d’elle qu’elle me donne la force de faire mes bagages, et de partir avec mes fils, elle m’a dit : « Tu restes là, assise au milieu du désastre, là. Tout le travail que j’ai fait par la suite avec le corps, avec la présence au monde, aux choses, cette leçon, non seulement d’accepter l’inacceptable, mais d’y entrer, d’y établir ses pénates, entrer dans le désastre, à l’intérieur, et y rester, y rester ! Non pas fuir, mais oser rester, à l’endroit où je suis interpellée, à cet endroit où tombent tous les masques, où tout ce que je n’aurais jamais pu croire s’avère être en moi, tous les démons, toute l’ombre. Les paroles éclatent et tous les démons déferlent dans la vie, la jalousie, l’envie de meurtre, l’autodestruction. Et je reste là et je regarde. Cette troisième voie est probablement le salut pour notre époque si torturée. Je m’explique : nous connaissons dans notre Occident deux voies quand nous sommes dans un état d’étouffement, d’étranglement ; l’une c’est le défoulement, c’est crier, c’est exprimer ce qui était jusqu’alors rentré. Il y a de nombreuses formes de thérapies sur ce modèle et c’est probablement, en son lieu et place, quelque chose de très précieux, pour faire déborder le trop plein. Mais au fond, toute l’industrie audiovisuelle, cinématographique, est fondée sur ce défoulement, cette espèce d’éclatement de toute l’horreur, de tout le désespoir rentré, qui en fait le prolonge et le multiplie à l’infini. L’autre réponse, c’est le refoulement : avaler des couleuvres, et devenir lentement ce nid de serpents sur deux pattes, avec tout ce que ces vipères et couleuvres avalées ont d’effet destructif sur le corps et l’âme. Et le troisième modèle qui nous vient d’Extrême-Orient et qu’incarnait Dürckheim : s’asseoir au milieu du désastre, et devenir témoin, réveiller en soi cet allié qui n’est autre que le noyau divin en nous. J’ai rencontré voilà quatre jours, en faisant une conférence à Vienne, une femme ; et c’est une belle histoire qu’elle m’a racontée qui exprime cela à la perfection. Elle me disait à la perte de son unique enfant, avoir été ravagée de larmes et de désespoir, et un jour, elle s’est placée devant un miroir et a regardé ce visage brûlé de larmes, et elle a dit : « Voilà le visage ravagé d’une femme qui a perdu son enfant unique », et à cet instant, dans cette fissure, cette seconde de non identification, où un être sort d’un millimètre de son désastre et le regarde, s’est engouffrée la grâce. Dans un instant, dans une espèce de joie indescriptible, elle a su : « Mais nous ne sommes pas séparés », et avec cette certitude, le déferlement d’une joie indescriptible qu’exprimait encore son visage. C’était une femme rayonnante de cette plénitude et de cette présence qu’engendre la traversée du désastre. Il existe, paraît-il, dans un maelström, un point où rien ne bouge. Se tenir là ! Ou encore, pour prendre une autre image : dans la roue d’un chariot emballé, il y a un point du moyeu qui ne bouge pas. Ce point, trouver ce point. Et si un seul instant, j’ai trouvé ce point, ma vie bascule, parce que la perspective est subitement celle de Job, cette perspective agrandie, de la grande vie derrière la petite vie, l’écroulement des paravents, l’écroulement des représentations, un instant, voir cette perspective agrandie.

 

lun.

03

oct.

2016

28/ Albert Einstein

" un être humain fait partie d'un tout, appelé par nous l'univers, une partie limitée dans le temps et l'espace. Il fait l'expérience de ses pensées et ses sentiments, comme quelque chose de séparé du reste - une sorte d'illusion d'optique de sa conscience. Cette illusion est une sorte de prison pour nous, nous réduisant à nos désirs personnels et... de l'affection pour les personnes les plus proche de chez nous. Notre tâche doit être de nous libérer de cette prison en élargissant notre cercle de compassion pour embrasser toutes les créatures vivantes et l'ensemble de la nature dans sa beauté."- Albert Einstein

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mer.

23

déc.

2015

27/ Éclore en Conscience

Dès que je crois à mon histoire, je n'éprouve plus la Liberté que je suis.
Dès que je crois pouvoir améliorer mon sort ou celui du monde au travers d'un accomplissement particulier ou me trouver dans les choses et les expériences, j'oublie que je suis la vacuité consciente dans laquelle les expériences vont et viennent. Une dissonance est ressentie. 
La Présence silencieuse que je suis à chaque instant est l'accomplissement parfait.
Dès que je prête foi à l'idée d'avoir un passé et un futur, c'est que je résiste à ce qui est et à ce que je suis maintenant : l'éternelle présence qui ne connaît aucun manque.
Dés que je crois devoir prendre un chemin particulier pour trouver la paix, il semble que je m'éloigne de moi-même et une guerre insidieuse est déclarée.
Dès que je prétends être quelqu'un, dés que je crois pouvoir, vouloir et savoir, je cesse de ressentir la joie sans cause et sans objet de ma véritable complétude : ne rien vouloir, ne rien savoir, ne rien être.
La complétude que nous sommes ne se cache pas quelque part. Elle s'offre à nous au cœur de chaque instant. Dés que nous cessons de la chercher dans un lieu ou une chose, un plus tard ou un ailleurs, elle révèle son omniprésente simplicité, Ici et Maintenant.

 

de Dan Speerschneider

mer.

28

oct.

2015

26/ Témoignage d'une Grand Mère

" J'ai cheminé longtemps, au long de ma vie de femme. Je me souviens de la petite fille, de la jeune fille en moi, arrivant dans ce monde, puis de la jeune femme mariée, enceinte, travaillant. Des mes difficultés, et de mes créations.

Aujourd'hui, je suis une "grand-mère", et je sais que la vie m'a appris, ainsi que les autres, mes expériences et mes lectures. Que puis je dire à mes petits enfants? que puis je dire à des plus jeunes? Certains trouvent étrange la "grand-mère". D'autres s'approchent de la "grand-mère".

J'ai envie de dire, partager. Surtout : Vivez vote Vie, fidèle à Vous-même, profondément, en écoutant votre Ame, en accord avec Vous-même, dans votre danse de votre Vie à Vous. Utilisez votre "Discernement", et voyez ce qui est bon pour Vous, votre Ame votre Corps qui vous porte sur la Terre. Mangez les bons fruits que la Terre-Mère vous donne, et soyez dans la Gratitude chaque Jour. Ecoutez la Terre, les Rivières, les Arbres, les Fleurs, et les Animaux nos Frères. Cultivez votre jardin. Regardez au delà des apparences, souvent trompeuses de la société de consommation qui vous éloignent de Vous-Même, votre Vérité. Marchez sur la Terre, pieds nus. Dormez sur la Terre qui nous aime, nous nourrit, nous porte, avec un grand Amour. Dites Merci à vos Ancêtres d'Etre ce que vous Etes ici, aujourd'hui. Et écoutez votre Vérité Profonde en Vous, en votre Coeur! Il y a longtemps, je trouvais des adultes ennuyeux. Certains ont oublié leur Vérité en eux. Ils ont peut être été empêchés. Mais un jour, j ai dit "merci d'être vivante" en ces Temps. Je vous Merci à Vous, d Etre avec Votre Coeur d'Amour pour les Temps de Maintenant. Avec ma Tendresse Infinie. Grand Mère Martine"

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jeu.

08

oct.

2015

25/  Je me suis échappé

Je me suis échappé des emprises de la terre
Pour danser dans le ciel sur les ailes argentées d'un grand épervier.
Je suis allé vers le soleil.
J'ai rejoins les cascades chaotiques de nuages tranchés de lumière,
Et là, j'ai vécu des moments dont vous n'avez jamais rêvé :
Roulé, plané et balancé si haut dans le silence solaire.
Suspendus, j'ai pourchassé le vent hurlant, et lancé mon vaisseau
Au travers de fabuleuses cavernes remplies d'un air infini.
Haut, plus haut dans un délire de bleu brûlant,
J'ai survolé les sommets balayés de vent dans une sérénité
Que nul aigle, nulle alouette n'ont jamais vécus.
Puis alors que mon esprit silencieux
S'élevait au travers du sanctuaire inviolé de l'espace,
J'ai sorti une main et caressé le visage de dieu.


John MacGuee (1922-1941)

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mar.

18

août

2015

24/  Comment pouvez vous acheter ou vendre le ciel...

Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?

L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?

Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.

Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le souvenir et l’expérience de mon peuple.

La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.

Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme, tous appartiennent à la même famille.

Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.

Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.

Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert.

Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l’odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.

L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.

La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.

L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.

Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre.

J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.

Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes choses se tiennent.

Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.

Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.

Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.

Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même.

Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être un jour, c’est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.

Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.

Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.

La fin de la vie, le début de la survivance.

 

Chef Seattle, du clan des Duwamish ( 1854)

 (en réponse au gouvernement américain)

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jeu.

13

août

2015

23/ 10 Citations Sioux

Luther Standing Bear (Ours debout) était un chef Sioux Oglala Lakota qui, parmi quelques rares autres tels que Charles Eastman, Élan Noir, et Gertrude Bonnin à avoir occupé le clivage entre le mode de vie des autochtones des Grandes plaines avant et pendant l’arrivée et la propagation ultérieure des pionniers européens. Élevé dans les traditions de son peuple jusqu’à l’âge de onze ans, il a ensuite étudié à l’école de Carlisle en Pennsylvanie, où il a appris la langue et le mode de vie anglais. (Carlisle reste un lieu de controverse dans les milieux autochtones.)

Ses racines indigènes le laissent dans la position unique d’intermédiaire entre les cultures. Bien que son mouvement à travers le monde de l’homme blanc n’était pas sans « succès », il a eu de nombreux rôles au cinéma à Hollywood, son héritage durable était la protection du mode de vie de son peuple.

Au moment de sa mort, il avait publié quatre livres et était devenu le chef du mouvement progressiste visant à préserver le patrimoine et la souveraineté des Amérindiens, c’était une voix forte dans l’éducation de l’homme blanc sur le mode de vie des Amérindiens. Voici donc 10 citations du grand chef indien Sioux connu sous le nom de Standing Bear qui perturberont une grande partie de ce que vous pensez savoir sur la culture « moderne ».

 

10 citations d’un chef Sioux qui remettent en question notre société:

 

1) Les louanges, les flatteries, les manières exagérées, et les belles paroles ne faisaient pas partie de la politesse Lakota. Les manières exagérées étaient considérées comme de la mauvaise foi, et ceux qui parlaient constamment étaient considérés comme impolis et irréfléchis. La conversation n’a jamais commencé tout de suite, ou précipitamment.

 

2) On enseignait aux enfants que la vraie politesse devait être définie par des actions plutôt que des mots. Ils n’ont jamais été autorisés à passer entre le feu et la personne âgée ou un visiteur, à parler alors que d’autres parlaient, ou à se moquer d’une personne infirme ou défigurée. Si un enfant essayait de le faire sans réfléchir, un parent le remettait immédiatement dans le droit chemin avec une voix calme.

 

3) Le silence était significatif pour le Lakota, et l’accord d’un moment de silence avant de parler était fait dans la pratique de la vraie politesse et tenait compte de la règle selon laquelle « la pensée vient avant la parole »… et au milieu de la douleur, la maladie, la mort ou le malheur de quelque nature que ce soit, le silence était la marque de respect… le strict respect de ce principe de bonne conduite a été la raison, sans doute, pour laquelle l’homme blanc l’a faussement qualifié de stoïque. On l’a jugé bête, stupide, indifférent et insensible.

 

4) Les vastes plaines ouvertes, les belles collines qui ondulent et les ruisseaux qui serpentent n’étaient pas « sauvages » à nos yeux. C’est seulement pour l’homme blanc que la nature était « sauvage », seulement pour lui que la terre était « infestée » d’animaux « sauvages » et de peuplades « sauvages ». Pour nous, la terre était douce, et nous vivions comblés des bienfaits du Grand Mystère.

 

5) Le sentiment de fraternité pour toutes les créatures de la terre, du ciel et de l’eau était un principe réel et actif. Les Lakotas éprouvaient pour le monde des animaux et des oiseaux un sentiment fraternel qui écartait tout danger ; en fait, certains d’entre eux étaient devenus si proches de leurs amis à plumes ou à poils qu’ils parlaient en véritables frères une langue commune.

 

6) Cette conception de la vie et de ses relations consistait à humaniser et à donner au Lakota un amour respectueux. Elle a rempli son être avec la joie et le mystère de la vie ; elle lui a donné le respect pour toute la vie ; elle lui a fait une place pour toutes les choses dans le système de l’existence avec la même importance pour tous.

 

7) C’était bon pour leur peau de toucher la terre et les personnes âgées aimaient retirer leurs mocassins pour fouler la terre sacrée avec leurs pieds nus. Leurs tipis étaient bâtis sur la terre et leurs autels étaient faits de terre. Les oiseaux qui volaient dans l’air venaient se reposer sur la terre, qui est le lieu de repos final de toutes les choses qui vivent et croissent. Le sol apaisait, fortifiait, purifiait et guérissait. C’est pourquoi le vieil Indien continue à s’asseoir sur la terre au lieu de se redresser et de s’éloigner de ce qui lui donne la force vitale. Le fait d’être assis ou couché sur le sol lui permet de penser plus profondément et de sentir avec plus d’intensité. Il entrevoit plus clairement les mystères de la vie et se rapproche fraternellement des autres existences qui l’entourent.

 

8) Tout possédait une personnalité, seule la forme différait de nous. La connaissance était inhérente à toutes choses. Le monde était une bibliothèque et ses livres étaient les pierres, les feuilles, l’herbe, les ruisseaux, et les oiseaux et les animaux qui ont partagé, aussi bien avec nous, les tempêtes et les bénédictions de la terre. Nous avons appris à faire ce que l’élève apprend seulement de la nature, et c’était pour sentir la beauté. Nous n’avons jamais déblatéré contre les tempêtes, les vents furieux, les gelées et les neiges . Donc tout ce qui vient, nous devons le régler nous-mêmes avec plus d’efforts et d’énergie , mais sans se plaindre.

 

9) Le vieux Lakota était un sage. Il savait que le cœur de l’homme éloigné de la nature devient dur. Il savait que l’oubli du respect dû à tout ce qui pousse et à ce qui vit amène également à ne plus respecter l’homme. Aussi maintenait-il les jeunes sous la douce influence de la nature.

 

10) On m’a imposé la civilisation…et cela n’a pas ajouté de connaissance à mon amour incorruptible de la vérité, de l’honnêteté et de la générosité.

J’espère que certaines de ces citations vous ont influencé de la même manière qu’elles l’ont fait avec moi. Notre culture moderne aurait besoin de suivre quelques conseils de la sagesse antique.

 

 

Source: “10 citations d’un chef Sioux qui remettent en question notre société” de wisdompills.com

par Taboola

 

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jeu.

11

juin

2015

22/ Les 4 éléments et la parole

Les 4 éléments et la parole

 

Soyez attentif à chaque parole que vous prononcez, parce qu'il y a toujours dans la nature un des quatre éléments, la terre, l'eau, l'air ou le feu, qui attend le moment où il pourra habiller de matière tout ce que vous exprimez.
La réalisation se produit souvent très loin de la personne qui en a donné les germes, mais elle se produit infailliblement.
De même que le vent emporte les graines et les sème au loin, vos paroles s'envolent et vont produire quelque part dans l'espace, des résultats bons ou mauvais.
Alors, habituez-vous à parler avec amour, aux fleurs, aux oiseaux, aux arbres, aux animaux et aux êtres humains, car c'est une habitude divine.
Celui qui sait dire les mots qui réchauffent, vivifient, inspirent et allument le feu sacré, possède une baguette magique dans la bouche ...
(Omraam Mickhaël Aïvanhov)

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jeu.

11

juin

2015

21/ Guerrier de l' Arc-en-Ciel


cette prophétie lue dernièrement  Christine Pagnier Guillot

 

Les "Nouveaux Indiens" porteront le nom de "Guerriers de l'Arc-en-ciel".
"Comme les anciens Indiens, ils enseigneront l'unité, l'amour et la compréhension mutuelle entre les peuples et les gens. Ils n'écouteront plus les doctrines qui prétendent détenir exclusivement la vérité, mais verront que Celui qui entend tout est trop grand pour des principes limités, trop juste pour n'accepter qu'un seul peuple choisi, trop libre pour être emprisonné par l'intellect. Ils écouteront plutôt ceux qui enseignent l'harmonie entre tous les Êtres, puisque le vent souffle sans favoritisme dans tous les coins du monde."

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jeu.

11

juin

2015

20/ Semences d'étoiles

Qui sont les Semences d'étoiles?

De Carol Salter

 

Les semences d'étoiles sont des êtres qui, à première vue, sont semblables à n'importe quel autre être humain. Cependant, dans leur ADN se cachent certains codes et mémoires appartenant à des civilisations galactiques beaucoup plus avancées (en termes d'amour/sagesse) que la nôtre.

Même si la plupart d'entre elles n'en ont pas encore conscience, les semences d'étoiles se sont incarnées sur Terre dans le but d'aider l'humanité dans son ascension.

Elles arrivent souvent avec des dons et des capacités qu'elles devront découvrir afin de les mettre au service de notre monde.

 

Loin de concevoir qu'elles sont des semences d'étoiles, elles se sentent souvent un peu seules et empreintes d'une nostalgie dont elles ignorent l'origine. Elle ont l'impression de vivre dans un monde absurde régi par des principes moraux qui ne correspondent en rien aux valeurs qu'elles portent intrinsèquement. Il arrive qu'à cause de cela elles soient parfois animées d'un grand sentiment de rébellion.

  

Tant qu'elles ne se sont pas reconnues, elles errent sur une terre à laquelle elles ne se sentent pas vraiment appartenir. Elle se sentent souvent différentes et incomprises. De ce fait, elles manquent généralement de confiance en elles. Ce sont des personnes très sensibles qui peuvent facilement se perdre dans les émotions des autres et qui ne gèrent pas toujours très bien leur hypersensibilité.

 

Mais, avant toute chose, les semences d'étoiles portent une noblesse d'âme et de nombreuses qualités dont l'Humanité a grandement besoin, telles que: altruisme, créativité, originalité, génie, sagesse, compassion, spontanéité, humilité, parfois même clair-voyance, clair-audience ou clair-senti.

 

Contrairement à ce que certains peuvent penser, les semences d'étoiles ne sont pas toutes destinées à vivre en marge de la société, recluses dans des écovillages ou bien à devenir guérisseur, chamane ou encore maîtres spirituels. Le plan des âmes est parfait et les semences d'étoiles sont parsemées dans tous les secteurs de la société, y compris ceux les plus inattendus. C'est directement de l’intérieur, une fois éveillées à elles-même, que les semences d'étoiles insuffleront leur sagesse, leur amour et leur intelligence au sein de notre société.

 

 

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lun.

06

avril

2015

19/ Prendre soin de la Terre

Laissons parler la Nature...Prendre soin de la Terre


« Est-il vraiment nécessaire pour un jeune garçon, d’apprendre le nom d’un animal, de savoir quel est son habitat, ses habitudes alimentaires, les soins qu’il donne à ses petits, s’il n’a pas en même temps la possibilité de vivre à proximité de cet animal ? Ne serait-il pas préférable de laisser parler la nature, de laisser le garçon exprimer son affection innée pour toutes les créatures plutôt que de lui enseigner à faire étalage de ses connaissances ? »

Chef Dan George, Les Plaines du Ciel, éd. de Mortagne


"Naître hommes sur cette terre est une mission sacrée. C’est une responsabilité sacrée qui nous a été confiée car ce don que nous avons reçu dépasse les dons offerts au monde végétal, aux poissons, aux forêts, aux oiseaux et à toutes les autres choses vivant sur cette terre. Nous sommes capables de prendre soin d’elles ».

Audrey Shenandoah, Onondaga


"Ceux qui vient sur cette planète doivent rompre avec le concept étroit de libération de l’homme et commencer à voir la libération comme quelque chose qui doit s’étendre à l’ensemble du monde naturel. C’est d’une libération de tous les éléments vitaux – l’air, l’eau, les arbres – dont nous avons besoin, de tous les éléments qui tissent le réseau sacré de la vie."

(extrait du discours d’Haudenosaunee au monde occidental, 1977. Voix indiennes, le message des Indiens d’Amérique au monde occidental, éd. Les formes du secret.

dim.

01

mars

2015

18/ Sri Nisargadatta

« La vérité est vous-même. Cessez de vous en éloigner en lui courant après. »

 

« Au lieu de chercher ce que vous n'avez pas, trouvez ce que vous n'avez jamais perdu. »

 

« C'est en vous imaginant séparé que vous avez créé le fossé. Vous n'avez pas à le traverser. Il vous suffit de ne pas le créer. »

 

« Vous existez en tant que pure présence, principe suprême au-delà du mental et du corps. Demeurez en tant que cela. »

 

 " Tout est parce que vous êtes."

 

 " Mes mots ne peuvent échouer, ils vont pulvériser les concepts de quiconque les écoute."

 

 " Vous êtes déjà ce que vous cherchez."

 

 " Ce qui vous lie, c'est de vous prendre pour ce que vous n'êtes pas."

 

 " La seule différence entre vous et moi c'est que je me connais tel que je suis."

 

 " Dans le monde des évènements, la question arrive, la réponse arrive, tout arrive, rien ne m'arrive, c'est tout."

 

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dim.

15

févr.

2015

17/  Le  Chanteur

Il était une fois un homme sans guère de mots dans son sac .Il parlait peu, par phrases simples. Il savait pourtant les réponses aux questions les plus compliquées. A qui venait dans son jardin avec son fardeau de chagrins il ne disait rien. Il chantait, et les soucis se défaisaient comme une fumée dans l’air calme.

Un soir, sous l’arbre de la place, comme sa voix disait aux gens ce que les mots ne savent pas,

Un enfant perché dans les branches fit tomber sur lui son canif. Il ne l’avait pas fait exprès, mais le chanteur en fut blessé. Son crâne saigna. Il gémit, sa voix se brisa et se tut.

--Pardonnez-moi, dit-il aux femmes qui s’empressaient autour de lui. Je ne me suis pas bien conduit. Je n’aurais pas dû m’interrompre. Si j’avais poursuivi mon chant, la douleur m’aurait oublié.

                                                                                   

                                                                                                                                     HENRI GOUGAUD   

 

ven.

05

déc.

2014

16/ Etre Amour

ÊTRE AMOUR

Tu me nommes « Amour »… je ne me nomme point...

Je suis la Vie qui circule en toi,
l’énergie qui anime toute chose,
la force infinie
par laquelle tout se meut dans cet univers,
tissant la toile infinie du Vivant
qui se Danse et se Chante en toutes ses manifestations..

Je suis tout ce qui est, mais tu ne me reconnais que rarement…

Tu me vois dans les yeux de l’enfant qui sourit,
tu m’entends dans le chant de l’oiseau au printemps ;
tu me perçois dans l’émoi qui te bouleverse
lorsque ton cœur bat pour autrui…

Tout cela n’est qu’émanation de mon essence,
expression de ma source intarissable..

Si tu aimes aimer, veux-tu me goûter, vraiment, entièrement ?

Alors ouvre-toi à 100% à tout ce qui survient,
à chaque instant :
car, puisque tu veux me nommer « Amour » ,
sache qu’aimer
signifie laisser circuler librement
l’énergie de Vie,
ne point y faire obstacle par la contracture d’un « non ».

Je suis le « oui » absolu, infini,
qui se chante depuis la nuit des temps en toute chose,
permettant par son accueil inconditionnel
que ce qui advient SOIT,
pleinement...

Je suis le cœur ouvert du Vivant
qui se brise face à l’injustice et la haine,
tout en choisissant de rester ouvert
pour que naisse l’élan
de la compassion et de la main tendue...

Je suis le seul pouvoir réel que tu auras jamais :
celui de l’ouverture à CE QUI EST…

Plonge en moi, dissous en moi
tes peurs,
tes craintes,
tes inquiétudes…
… permets que je te fasse découvrir l’espace inaltérable de ton Etre,
avant la limitation,
avant l’identification,
avant que tu ne donnes à autrui le pouvoir de fermer ton cœur.

Abreuve-toi à ma Source, nourris-toi de ma force,
qui est de n’en exercer aucune sur quoi que ce soit…

Alors les galaxies tourneront autour de l’axe de ton être,
alors toute chose trouvera un miroir en ton sourire,
alors ta simple présence sera une bénédiction pour chacune et chacun…

Alors, en toi,
avec toi,
par toi,
l’Amour SERA…


Isabelle Padovani

 

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mar.

21

oct.

2014

15/ Aux Hommes Nouveaux

Aux Hommes Nouveaux

Aux hommes nouveaux
Ceux qui regardent au loin
Le jour se lève,
Et ils tendent les bras au soleil, à la vie
Leurs coeurs n'ont plus en soif de guerre, de pouvoir, de possession
Ils ont appris à danser avec la vérité, à marcher pieds nus sur la terre, à récolter les paroles de sagesse
À ces hommes, à cet homme qui ose sa fragilité
Qui laisse ses larmes couler comme la source d'une transformation
Nous t'attendions
Nous guérissons ensembles nos blessures communes
J'ai tant à apprendre de toi
Tu as tant à m'enseigner
J'ai tant à de donner
Il est temps d'être ensemble

A ces hommes qui nous regardent,
Nous aiment sans artifice dans l'essence de notre être
Comme une danse à deux, une salutation à la beauté de nos âmes
Hommes de maintenant
Je te regarde simplement
Je te découvre
Je t' accueille

Écrivons d'autres chemins
Dessinons d autres étoiles
Nos sangs et nos rêves mêlés dans un amour bien plus grand
Dans la vastité du monde, l'immensité d'un baiser
Ou les désirs parlent d'union, de pacification , de pardon,d'authenticité
Pardonne moi!
Tu es le fil du ciel et de la terre
Je suis la fille du ciel et de la terre
Nos histoires sont liés

À cette homme à ma porte, dans ma chaumière, dans mon ventre, dans mon coeur, dans mes larmes, dans ses graines que je plante à demain
Bienvenue


Yaël

http://lechantdesarbres.over-blog.com

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jeu.

28

août

2014

14/ Sri Ramana Maharshi

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mer.

27

août

2014

13/ Sri Ramana Maharshi

« Vous imposez des limites à votre véritable nature d'être infini, puis vous vous désolez de n'être qu'une créature limitée, ensuite vous mettez en œuvre des pratiques spirituelles pour transcender ces limites inexistantes. Mais si votre pratique même implique l'existence de ces limites, comment pourraient-elles vous permettre de les transcender ? »

- Sri Ramana Maharshi

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sam.

05

juil.

2014

12/ Devient l'eau

 

 

deviens l'eau

 

comme la fleur coupée se dessèche un peu plus

j'ai le coeur assoiffé comme le reste du monde

assoiffé d'amour, assoiffé de plus

 

deviens l'eau

mon eau limpide et douce

mènes moi à la source

plonger les mains dedans

la porter à ma bouche

 

deviens l'eau

mon eau claire , mon eau pure

coule en moi je t'en conjure

aime moi , aide moi

porte secours à mon besoin d'amour

 

traverser les déserts et les champs de bataille

ou que j'aille

si je me désaltère

qu'importe les enfers

 

deviens l'eau

ruisselles sur mes nuits

tout autant que mes jours

fais de ma vie un océan d'amour

 

mes rivages asséchés

n'attendent plus que ça

va savoir quelle vague

m'emportera vers toi

 

deviens l'eau, inondes moi

que je te sente puissant

dans mes veines ,mon sang

pareil à l'aurore

quand le soleil ce répand

 

deviens l'eau

 

pour toucher l'autre rive

on peut construire des ponts

moi je préfère nager ou me laisser

aller au gré de tes courants..

 

Maryline / Lutinette

 

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lun.

02

juin

2014

11/ Sri Nisargadatta Maharaj

Entretien du 10 mai 1981 (A la Source de la Conscience)

 

Maharaj: Ce que vous aimez le plus c’est ce « Je suis » lui-même, cette présence consciente, mais cela ne durera pas toujours !

 

Quand cette flamme s’éteint, a-t-elle enregistrée un profit ou une perte ? Que représente la flamme ?

 

Visiteur: La connaissance, la conscience…

 

M: Que va-t-il arriver à cette conscience ? Toute cette spiritualité existe uniquement pour le faire comprendre, pour le faire assimiler. Une fois éteinte, la flamme n’a plus rien à faire. De même comprenez bien ceci, une fois ce corps mort et la conscience éteinte vous n’avez plus besoin de rien faire. Possédant cette compréhension, faites ce que vous voudrez dans le monde.

 

Actuellement, vous êtes ligoté à cette identification au corps, c’est conceptuel. Mais la pensée même d’un profit ou d’une perte est annihilé lorsque la compréhension a lieu.

 

N’essayez pas de choisir, de décider « je dois faire ceci et pas cela ». Ne vous imposez rien, ne vous conditionnez pas par une certaine façon de vivre.

 

Une fourmi est sur vous, elle vous pique ; c’est ainsi que vous savez que la fourmi est là. C’est la même chose en ce qui concerne cette présence consciente « Je suis », sa perception est due à la présence du corps matériel.

 

Ayant bien compris cela, qui voudrait s’accrocher à cette vie matérielle ou la rejeter… ? La question ne peut pas se poser !

 

Si vous êtes imprégné de cette connaissance, malgré les multiples difficultés du monde aucun mal ne vous affectera.

 

Des propos aussi abruptes et énigmatiques, vous ne les trouverez pas ailleurs. Ailleurs on vous exposera certains concepts ayant surgis dans la conscience. Dans ces concepts d’autres concepts seront développés et vous vous égarerez ! Les concepts relevant de la conscience, quels qu’ils soient, sont sans réalité. Le monde écoutera-t-il de tels propos ?

 

Qu’est-ce que vous êtes ? Etes-vous ce principe « naissance », ce corps résultat des sécrétions de vos parents ? Celui qui reçoit en lui cette révélation est libéré de tous les problèmes de famille ou du monde.

 

Extrait de A la Source de la Conscience, Editions Les Deux Océans, 1991

 

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sam.

17

mai

2014

10/ O.M.A. 9 mai 2014

Message de O.M AÏVANHOV – 9 mai 2014 :

Posté le 14 mai 2014 par LeTransmetteur

Chers frères et sœurs, je suis O.M. AÏVANHOV, recevez une chaleureuse salutation de l’Assemblée des Melchisédechs. Aujourd’hui, nous sommes donc réunis pour célébrer ensemble avec la Mère Divine, ce jour de fusion entre le Ciel et la Terre, entre le Cœur de la Terre et le Cœur de Sirius.

Merci à tous ceux présents, et comme d’habitude installons-nous dans ce Feu. Communions ensemble à mesure que cette Fusion se manifeste parmi nous, ce Feu qui s’installe au centre, dans la poitrine en chacun de nous. Alors unissons-nous dans un premier temps.

…Fusion avec l’Assemblée des Melchisédechs…

Comme va vous le dire MARIE, la Grâce se déploie. Cette invitation à la Grâce s’ouvre à vous tous, ainsi que cet Abandon et cette possibilité d’être en permanence dans votre centre, avec le Centre Galactique. C’est le cadeau de cette Fusion entre la Merkabah Collective et toute la Flotte Inter-Galactique de la Confédération qui est présente, au plus près de vous, vous accompagnant à chacun de vos pas, ici à la surface de la Terre.

Alors comme je vous l’ai dit, il y a un mois, c’est à vous maintenant par votre Transparence, d’accéder à votre état Unitaire, à votre état de Paix, à votre état d’Abandon, hein? Toutes les réponses ont été données à chacun. Vous avez déjà la réponse en vous et vous doutez encore, vous demandant toujours quelle est la solution? Et alors vous savez que bien sûr encore, vous vous maintenez dans la dualité. C’est pourquoi, nous vous pressons avec urgence de faire ce pas, hein! Parce qu’il n’y a que vous pour solutionner, pourrions-nous dire, ces derniers nœuds dans la personnalité, dans l’âme, qui vous empêchent de pouvoir vous installer dans la Grâce, de devenir la Grâce, hein. Car ce n’est pas pareil de commencer à vivre la Grâce de façon extérieure, et de devenir la Grâce, hein?

Pour devenir la Grâce, nécessairement, vous devez être totalement propres, et permettre au Silence, à la Présence, de se déployer. Sinon c’est pratiquement impossible pour la Lumière de prendre votre temple. Alors, c’est individuellement que vous devez faire place nette, et cesser de projeter l’ombre sur les frères, sur une situation quelle qu’elle soit, sur une vie antérieure, ou une quelconque culpabilité extérieure. Évitant d’accepter et de prendre la responsabilité qui est la votre, d’assumer votre état d’Éternité, votre Vérité.

Comme va vous le dire MARIE, tout est réuni maintenant, ici, sur Terre. Le travail collectif que nous avons commencé, il y a quelques mois, voit aujourd’hui, sa consolidation au niveau de la Merkhabah qui vous unit, au niveau du Collectif de l’Un manifesté, ici, sur la Terre. Et cela permet une élévation de toute la vibration, tant de l’ensemble du Collectif que de la Terre, et au niveau de l’humanité.

Nous sommes plus que jamais présents, et sachez que de plus en plus votre guidance intérieure et votre Cœur, seront ceux qui vous permettront d’être en contact permanent avec votre Source de Lumière, avec les Frères Stellaires qui vous accompagnent, hein? Alors si les frères actuellement vous transmettent ces messages, que vous appelez les canalisations, hein, si ce travail continue de se faire, c’est parce que certains frères en ont encore besoin. La Lumière voit que cela est utile, pour le déploiement de la Vérité.

Alors ce travail continuera de se faire, durant cette période. Nous poursuivrons l’accompagnement de cette façon, hein. Mais plus que jamais, l’important est d’accéder à votre Paix, et à votre guidance intérieure. Ne lisez pas les messages qui arrivent comme l’unique source de Lumière, avec une sorte d’attachement au niveau de l’égo spirituel, mais lisez cela comme si vous lisiez les nouvelles, hein, comme quand je vous parlais de la Gazette de l’Ascension.

C’est ainsi que l’Unité devient présente, qu’elle se développe intérieurement et extérieurement. C’est ce à quoi vous êtes appelés, et ce que vous demande tous les frères qui vous accompagnent dernièrement. Comme vous l’a dit LI SHEN, qui vous a parlé du déploiement de la Lumière Vibrale dans ce corps. Comme vous en a parlé SNOW, l’Étoile Clarté, de vous rapprocher de la Terre, pour permettre à votre corps, à ses racines de se connecter au Cœur de la Terre, fusionnant avec le Cœur de Sirius. C’est ce qui permet et facilite cette préhension de haute tension de la Lumière Vibrale qui prend votre corps, manifestant alors oui, la Grâce et la Gloire de la Lumière, qui s’éveille maintenant dans tous les frères et sœurs humbles, prêts à aimer et à ouvrir le Cœur Vibral à la réalité, que vous êtes appelés aujourd’hui à manifester, en ces temps de Transition.

Rappelez-vous que l’unique obstacle, actuellement, entre vous et votre présence Éternelle, n’est rien d’autre que vous-même, dans cette personnalité, dans cette histoire. Quelle que soit l’histoire de l’âme, où les circonstances actuelles dans la vie de votre personnalité, abandonnez tout cela à la Lumière, pour que s’accomplisse la Volonté du Père et la Volonté de l’Intelligence de la Lumière. C’est seulement en disparaissant, que vous vivrez en ces Temps de Grâce, la Révélation de votre état de Paix Éternelle, d’Amour et d’Abandon, en servant la Lumière Unitaire, en Unité avec toute la Création et toute la Vie. Facilitant alors sur la Terre la fusion des Réseaux Unitaires, facilitant la pénétration et l’approche de la Lumière, et de tous les rayons qui arrivent du Soleil Central, de Sirius et de votre Soleil.

C’est donc le moment d’être vous, plus que jamais, de vous permettre de déployer votre Vérité, votre Cœur et votre Feu dans ce monde, tout en élevant la Terre, en prenant part à cette Œuvre Collective. Comme vous le voyez les Éléments prennent leurs Temps, leur intensification ouvrent et débloquent la circulation des Nouvelles Fréquences sur la planète. Cela prendra le temps nécessaire, hein, et bien sûr comme vous le savez, c’est la Terre qui décidera du moment précis, avec les signes que vous connaissez tous.

Merci frères et sœurs. Depuis l’Assemblée des Melchisédechs nous vous bénissons et nous vous invitons à laisser, à abandonner tout ce que vous avez projeté dans cette réalité qui vous empêchait de rester en l’Éternité et en la Paix de votre Esprit, de votre état bien au-delà de tout état.

Aujourd’hui, c’est l’occasion pour vous, si vous doutez encore, de vous jeter à l’eau et de profiter de ce tremplin de la Grâce, durant ces semaines qui s’ouvrent en ce temps linéaire de la Terre.

Alors, je vous laisse avec la Présence de MARIE, dans cette communion. Merci frères et sœurs, je vous embrasse. Je suis O.M. AÏVANHOV, et je vous dit à bientôt.

 

Transmis par Sijah Sirius du Collectif des Enfants de la Loi de l’Un.

Traduit par Meresankh

Source : http://www.cordefoc.net/

Important : Vous êtes invité à reproduire ce texte pour le transmettre à condition de mentionner ce lien : http://www.legrandchangement.com Merci !

 

 

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mer.

02

avril

2014

9/ Le retour des Prêtresses

LE RETOUR DES PRÊTRESSES, DES MESSAGÈRES DU FÉMININ SACRÉ

 

"L’humanité a besoin de messagères du Féminin Sacré, de ces femmes prêtresses qui incarnent le Christ Féminin dans leur corps, dans leur coeur, dans leur esprit et dans leur âme, particulièrement des femmes aimantes, à la fois féminines et masculines, des femmes sexuelles et créatrices, des femmes aimantes et guérisseuses, des femmes chamanes et guerrières, des femmes sages et enseignantes, des femmes prêtresses et visionnaires, des femmes initiatrices et déesses. Toutes ces femmes qui incarnent la beauté, la puissance créatrice, l’amour et la sagesse du Divin Féminin Sacré.

 

En retrouvant leur mission d’exprimer toutes ces dimensions sacrées de leur féminité, les femmes peuvent choisir d’évoluer sur la Voie sacrée du Christ Féminin, celles dont le but est d’incarner l’Amour et la Lumière sur la Terre, dans leur corps, leur coeur, leur esprit et leur âme de femmes.

 

Être une prêtresse:

christ feminin-face cachee du christ- c’est choisir d’incarner le message christique, devenir une apôtre du Féminin Sacré, dédier sa vie aux valeurs du Divin Féminin, à la Déesse

 - c’est féminiser davantage notre humanité en harmonie avec le Masculin

 - c’est enseigner les valeurs du Féminin Sacré,

 - c’est canaliser la Lumière divine féminine, l’Amour divin du coeur de la Mère divine, l’Amour inconditionnel, l’Amour infini, tout comme l’a fait Marie Madeleine qui fut transformée par la rencontre du Christ.

 - c'est spiritualiser son corps, l'honorer comme un Temple Sacré du Divin Féminin

 - c’est offrir sa vie, son corps, son coeur, son esprit, son âme au Divin

 

Plusieurs femmes et plusieurs hommes entendent cet appel du Féminin Sacré, du Christ Féminin dans leur corps, dans leur coeur, dans leur esprit et dans leur âme et désirent participer à cet éveil , à cette émergence du Féminin Sacré.

 

L’arrivée des Prêtresses, ces nouvelles Messagères du Féminin Sacré, amorce le début d’une nouvelle ère et offre au monde une forme de prêtrise plus originale, une spiritualité féminine, plus créative, plus aimante, plus accueillante, plus douce, plus solidaire, plus libre.

 

C’est le Féminin Sacré qui va ramener dans notre société l’équilibre, la paix, la guérison, l’harmonie de notre humanité.

 

Entendez l’appel du Féminin Sacré en vous et participez à ce grand mouvement de changement!"

 

Auteur : Sylvie Bérubé (Lüna)

 

École Internationale du Féminin sacré

 

www.femininsacre.com

 

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mer.

26

févr.

2014

8/ Osho..."La Danse"....splendide !!!

 

OSHO (Par: Sijah Sirius) 22 février 2014

 

Je suis celui que vous appelez OSHO, je suis vraiment bien en chacun de vous, je suis la Danse, et aujourd'hui, conjointement avec le frère RÛMI, nous venons danser avec vous, vous inviter à la Danse, Danse de l'Unité, Danse de l'Extase.

 

Est-ce que le danseur est séparé, est différent de la Danse ? Observez cela clairement. Y a t-il une seule différence entre le danseur et la Danse ? Il n'y en a aucune. C'est précisément, quand il ne reste personne en vous que la Danse devient votre Danse, c'est quand vous entrez dans la Danse.

 

Si vous observez cette danse que nous entreprenons ensemble, vous verrez que pendant longtemps vous avez décidé de rester assis. Assis à observer vos propres limites, assis à observer peut-être la Danse que quelqu'un avait décidé de danser. Assis de cette manière, vous avez cru conserver votre sécurité, votre zone de confort. Mais comme je vous l'ai bien expliqué, il n'y a aucune sécurité dans l'éphémère, dans ce qui naît et dans ce qui meurt. La seule sécurité, si on peut dire ainsi, est la Danse. Danse qui vient vous emmener bien au-delà de ce que vous avez cru être, bien au-delà de toutes les barrières qui vous ont empêchées d'être UN avec la Danse.

 

La Danse englobe tout et chacun des niveaux d'expérience. Y a-t-il une seule différence quand vous Dansez dans ce corps ou quand vous Dansez dans un autre corps ? Que vous dansiez dans cet espace-temps, dans un autre espace-temps ou dans aucun espace-temps, la Danse reste toujours la même, car c'est la Danse de l'Unité, c'est le bal de la Vie.

 

Air et Feu, Feu et Air, allument en vous la Flamme qui Danse. Danse et prend son envol qui n'est pas le sien, mais celui de toute la Vie, de toute la création. Nous vous invitons à la Danse de l'Unité. Danse où rien ne peut être caché, où rien ne peut être préservé. Préservé de quoi ? Préservé d'un danger ? D'une peur ? D'une situation quelle qu'elle soit ? La Danse vous libère de la prison elle-même.

 

Levez-vous de la chaise !

Commencez les pas de cette Danse, dansez sans regarder en arrière, sans regarder en avant. Dansez car cette chorégraphie se déploie sans vous, elle se déploie sans aucun effort. Le seul effort sera de résister à la Danse, alors oui, la résistance occupera l'espace de la Danse. Mais si vous laissez ce temple se remplir de l'Air et du feu sans vous demander comment cela va se passer, ce que vous avez cru être disparaîtra, et apparaîtra ce qui est toujours en toute dimension de Vie : l'Éternité, le Bal et la Danse du Feu, de la Joie.

 

Ce Feu et cet Air intensifient l'abandon à la Danse, offrant à la Vie les petites valises que vous gardez encore. La Danse vous invite à abandonner totalement, en confiance, votre Esprit à LA SOURCE, pour être le conducteur de la Danse de l'Unité.

 

Rien ne peut rester dans ce Feu qui ne soit la Joie et l'Allégresse. Rien ne peut rester dans ce Feu de ce qui vous empêche de danser.

 

Levez-vous de la chaise ! Venez danser avec nous, parce qu'il n'y a jamais eu un moment où la Danse s'est arrêtée. Il y a seulement eu un instant dans l'Éternité où vous avez cru, par adhésion aux outils éphémères de cette dimension, que vous ne faisiez pas partie de la Danse de l'Unité.

 

Levez-vous de la chaise et dansez !

 

Dansez avec le frère RÛMI qui vient continuer cette invitation à la Danse.

 

Celui qui vous parle vous dit : à maintenant.

 

 

Transmis par Sijah Sirius du Collectif de l'Un. Traduction du catalan au français par: Meresankh. Blog de Sijah. Cor de Foc. Fichier PDF par: Les Transformations

 

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mar.

25

févr.

2014

7/ Rûmi..." La Danse...de la Vie"

chamanisme

Roumi (Balkh, 30 septembre 1207 - Konya, 17 décembre 1273) est un mystique Persan (Iranien) qui a profondément influencé le soufisme. Son nom est intimement lié à l'ordre des « derviches tourneurs ». Il écrivait tous ses poèmes en persan (farsi). Wikipédia

 

Mevlana Rumi (Par : Se verine) 14 février 2014

 

Bien-aimés enfants, frères et soeurs de l’Un, je suis Mevlana Rumi et viens aujourd’hui m’installer à vos côtés, de Présence à Présence, en un seul et même Coeur, comme en une seule et même Danse. Je viens vous entourer de mes bras, je viens vous enlacer et vous inviter à la Danse et à la Fluidité.

Voyez-vous, en ce monde, la danse est abordée d’une toute autre façon que la Danse qui vous est proposée aujourd’hui au coeur du Silence, au coeur de la Félicité, en ce bal qui se déroule en vous à chaque instant. Alors oui, je viens vous parler de la Danse, non pas la danse comme vous pouvez la vivre sur ce monde, dans ce rêve, mais bien comme il vous est proposé de la laisser s’installer en vous, à chaque heure, chaque minute, dans votre quotidien, transformant ainsi l’illusion en totale Félicité, en Joie indicible.

Lorsque vous abordez la danse sur ce monde, lorsque quelque part vous êtes confronté à faire vos premiers pas de danse sur ce monde, vous êtes confrontés, non seulement face à vous-même mais face à votre partenaire. Ce partenaire en qui vous devez avoir une totale confiance, partenaire en qui vous devez vous abandonner afin d’accéder à une parfaite osmose, à une parfaite Unité. Aujourd’hui, lorsque la Lumière, lorsque Christ en la Grâce vient vous inviter au bal, vient vous proposer de vous unir à Lui et qu’en un seul et même Coeur faire des pas de danse, vous devez avoir une confiance, une Foi totale, totale en Lui, en Christ, en la Lumière que vous êtes.

Oui, pour Danser dans les bras du Christ afin de vous fondre en Lui, vous devez oser ce face à face, ce face à face avec vous-mêmes qui est indispensable pour arriver à une certaine Fluidité, une parfaite osmose, une Danse totale et Unitaire au sein de votre Plénitude. C’est aujourd’hui ce que nous vous proposons et ce que je viens vous proposer. Alors, si vous le permettez, j’aimerais quelques instants vous inviter au Bal qui se déroule en cet instant même, en vous, en ce coeur d’Amour et ainsi de partager quelques pas de danse en totale Communion, en totale Fusion, dans le Silence.

(Danse d’Amour silencieuse)

Restez, frères et soeurs, quoi qu’il arrive, à chaque minute de votre vie sur ce monde, au coeur de la Danse. Vous êtes le coeur même de cette Danse, de cette valse infinie, si paisible et si enivrante qui vous fait redécouvrir le Feu de l’Amour véritable, le Feu qui reprend peu à peu sa place en vous comme sur ce monde.

La Danse est simple, si simple, lorsque vous vous laissez porter par la musique, les notes célestes et cristallines qui s’élèvent depuis votre coeur cristallin, depuis le coeur cristallin de Terre-Mère, et de la Source Une, en totale Unité. Oui, il est si simple de se laisser porter, bercer par Celui qui vous guide dans cette Valse infinie, cette valse d’amour qui est là pour vous en cet instant même et qui vous invite à vous oublier en totalité.

Alors bien sûr, quelque part je dirais qu’il faut du courage, le courage de s’oublier en totalité, le courage de se regarder face à face et d’accepter tout ce qui peut être vu, que ce soit les résistances, que ce soit toute la Beauté qui a toujours été présente. Il est temps pour la Fête, il est temps de vous laisser bercer, de vous laisser cajoler par votre Partenaire qui n’est autre que Christ, Feu solaire, Feu d’Amour, qui est là pour vous rendre à vous-même, votre Nature véritable qui n’est autre que la Danse, que la Joie, que la Légèreté.

Alors cessez toute indentification à ce corps comme à ce monde, à toutes les illusions, toutes les souffrances, toutes les peurs qui n’ont aucune consistance face à la beauté et la grandeur de la Lumière que vous êtes de toute Eternité.

Voici ce que je suis venu vous rappeler aujourd’hui, frères et soeurs, avec tant d’Amour. Et en ces instants même, pendant que je vous parle, nous Dansons.

Nous sommes la Danse…

Nous sommes Musique céleste…

Nous sommes Bal des Retrouvailles, retrouvailles avec vous-même, qui peut se dérouler à chaque instant en vous et non pas à une date prédéfinie.

Alors soyez UN avec vous-même, soyez UN avec la Présence qui est Danse au coeur de vous-même, à chaque instant.

Je reste bien sûr avec vous à chaque instant car je suis ce que vous êtes. Christ, Présence Ultime, Feu Solaire, Christos, peu importe le nom, C’est Là, en vous depuis toujours à Danser. Il suffit de laisser la Danse émerger à nouveau en vous afin que chaque instant vécu sur ce monde soit totale Grâce, totale Fluidité et Paix.

Nous vous rendons Grâce, nous les Melchisedek de l’Air.

Mevlana Rumi vous offre tout son Amour et vous dit à très bientôt comme à chaque instant. Merci de votre accueil et de votre écoute.

Grâce

 

Transmis par Séverine

Blog : Grâce de l’Amour

Fichier PDF par : Les Transformations

 

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jeu.

20

févr.

2014

6/ Dialogue au coeur du silence

Dans les yeux d’un bison

Les mots sont inutiles,

Je le sais bien.

 

Quel est donc ce lieu auquel il me convie?

Sentir.

 

Je me demande alors.

 

Qu’est-ce qui obscurcie le miracle de la vie?

Comment avons-nous oublié notre connexion avec la nature, le monde animal?

 

Se pourrait-il que quelque chose se substitue à la vue?

Serait-ce moi?

 

Et j’entends ta voix.

« Et si tu laissais tomber, l’idée que tu te fais de cet instant?

N’es-tu pas las d’essayer de contrôler ce qui n’a pas encore pris forme?

Quel est donc ce voile que tu ajoutes à l’existence?

En agissant ainsi,

Ne vois-tu pas l’obstacle qui se dresse entre nous? »

 

Et tu restes là, immobile,

Profondément enraciné.

Habitant cet instant avec grâce.

 

Ta présence

M’invitant patiemment

À renaître au coeur de l’être.

Dans l’immédiateté des choses.

 

Je sais que je ne peux me présenter à toi

Que les mains vides, ouvertes.

Dans l’esprit d’un coeur d’enfant.

 

Se pourrait-il que quelque chose finisse par céder en moi?

 

En ouvrant la voie de la grande vulnérabilité

Les frontières s’effacent et disparaissent.

 

Le coeur explose,

Révélant toute la beauté

d’une demeure intérieure.

 

C’est en ces lieux que nous nous rencontrons.

 

 

Certaines rencontres sont si porteuses de sens, que les coeurs se dissolvent en un seul et même battement.

Toute ma gratitude à Apricot, Moonlight, Moonlit, Uintah, Willow.

 

 

Sophie Boyer (Vijjobhasi)

 

Vidéo....audio en anglais, et superbe images de Bison

 

 

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lun.

03

févr.

2014

5/ Tresser

"Les Ancêtres nous enseignent que, lorsque nous tressons nos cheveux, nous honorons la Terre Mère et Tous Ceux à qui nous sommes Reliés : nos tresses représentent nos liens à la Terre et au monde tangible. Quand nous laissons nos cheveux libres, nous connectons notre Essence Spirituelle aux Esprits qui chevauchent le vent.

En faisant honneur à ces liens avec notre Famille Planétaire, nous nous autorisons à être ce qui relie le monde tangible et le monde intangible, nous avons accès à la compréhension spirituelle et à la joie physique d'être sur terre."

Jamie Sams

ven.

24

janv.

2014

4/ No Eyes

NO EYES

23/01/2014

 

Je suis No Eyes, et je viens à votre rencontre, en ce lieu de nature, en ce lieu où est imprimé la Présence de la Mère.

 

Il faut savoir se perdre au sein des Eléments, au sein de la nature, afin d’y sentir la Danse, d’y lâcher la sécurité, et d’y vivre la Grâce.

 

Comme vous avez pu le constater, il est souvent plus facile de se tenir hors de l’espace et du temps lorsque vous êtes assis confortablement. Dès que vous entamez un mouvement, les conditionnements ont tendance à revenir au grand galop. Il vous appartient de le constater, sans culpabilité - un simple regard - et à vous réinstaller dès que vous l’observez, en le Présent. C’est là que vous rencontrer la Vie, c’est là votre seule possibilité de rencontrer la nature.

 

Je porte la Vision, et je ne voyais pas avec la vue ordinaire. Je ne me suis donc pas arrêtée aux évidences. Je ne me suis pas arrêtée à ce que le monde vous envoie. Il est ainsi possible, en ne vous laissant plus happer par les sens, de vous placer en la Vision infinie, en la Vision du Cœur.

 

Dès que vous rencontrez la matière, dès que vous vous laissez aspirer, tout devient beaucoup plus lourd. Alors que si vous la dansez, vous constaterez par vous-même : l’ensemble des Eléments y sont présent, la Légèreté est là également.

La rencontre avec la nature vous oblige à vous placer Ici et Maintenant. A ce moment, là, tout est léger. La nature communie avec vous, elle vous porte, elle chante en chacune de vos cellules, et vous chantez au sein de la nature.

 

Ainsi est le Flux perpétuel de la Vie…

 

Il est plus facile de s’installer hors de l’espace et du temps, et dans le mouvement, au sein de la nature. Mais cela se déploie en définitive où que vous soyez, puisque vous n’êtes plus soumis à l’espace et au temps.

 

Alors, Maintenant, je vous propose un instant de Communion, en l’Eternel Présent, là où se trouve la Vie, là où se trouve le Grand Esprit.

 

[Communion]

 

Alors, chers frères et sœurs, je vous laisse entre les mains de la Mère Divine, entre les mains du Grand Esprit, et je vous dis à bientôt.

 

 

 

Transmis par Air

http://www.envol-du-phenix.org

 

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mer.

22

janv.

2014

3/ Snow ou Plume Blanche

SNOW - Méditation Vibrale

22/01/2014

 

 

Mon nom est Snow.

 

Que le Souffle du Grand Esprit soit en vous. Je viens aujourd’hui, en votre espace de Méditation Vibrale, afin de vous accompagner à la rencontre du mouvement, à la rencontre du Souffle de la Vie.

 

Mais avant de poursuivre en mots, installons le Silence…

 

[Silence]

 

Comme vous le savez, de mon vivant je vivais au rythme de la Vie, au rythme du Grand Esprit, suivant son Souffle à chaque instant et me laissant porter comme une plume au gré de sa Volonté. Ainsi, je fus célébrée par le Grand Esprit, dans la Danse où je le célébrais.

 

Il vous suffit de regarder quelques instants autour de vous pour voir le Souffle de la Vie se mouvoir à chaque instant, pour voir la Vie respirer. Respiration du corps, respiration de la nature, rythme des saisons… La Source elle-même, de toute Vie, amène sa respiration. La Danse des Eléments accompagne elle aussi la respiration du Grand Esprit.

 

Alors, prenons le temps de laisser danser la Vie, de la célébrer. Faisons-le maintenant pour quelques instants…

 

La nature, par sa respiration, vient danser au sein de ta nature…

 

[Silence]

 

Vois la Légèreté de te faire porter par le Souffle du Grand Esprit…

 

Souffle du Grand Esprit relayé par la Danse du Feu, par le chant de l’Air, par la caresse de l’Eau, par le soutien de la Terre…

 

[Silence]

 

Dansez sur le rythme des tambours de la Terre…

 

Chantez le chant du Ciel…

 

Chant du Ciel et tambours de la Terre, à nouveau réunis, portant ensemble le Souffle du Grand Esprit…

 

[Silence]

 

 

La Vie ne se prend pas, la Vie ne se croque pas, la Vie se danse. Elle se célèbre en le mouvement…

 

Mouvement des mots, mouvement du corps, mouvement du Silence…

 

L’immobilité éloigne le Souffle du Grand Esprit. L’immobilité amène la gangrène en la Vie. L’immobilité… Observez, comprenez que même lorsque le corps ne bouge pas, la Danse de la Vie est là, si vous vous laissez traverser.

 

Vous pouvez bouger le corps et être immobile, hermétique au Souffle du Grand Esprit à l’intérieur. Cela, de nombreux humains l’expérimentent à chaque instant. Mouvement impulsé par l’attraction extérieure qui vient vous vider du Souffle de la Vie.

 

Le Souffle de la Vie est en vous. A vous de le déployer, si vous le souhaitez. A vous de vous en débarrasser, le donnant à l’extérieur, si vous voulez rester en sécurité. Mais vous ne pouvez donner ce Souffle et le danser. Vous pouvez le partager, vous pouvez communier, vous pouvez fusionner, mais vous ne pouvez l’abandonner, attiré vers ce monde dépravé, ce monde qui vous fait croire à l’extérieur.

 

 

Alors, à nouveau, dansons, Maintenant, le Souffle du Grand Esprit, le Souffle de la Vie…

 

[Silence]

 

Ceci, je l’appelle la Danse de la Vie. Ceci, vous l’appelez Grâce. Peu importe les mots, tant que nous en vivons l’essence.

 

En la Danse, en le Souffle du Grand Esprit, à bientôt.

 

 

Transmis par Air

http://www.envol-du-phenix.org

 

 

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mar.

21

janv.

2014

2/ Sagesse Amérindienne

Sagesse amérindienne

 

 

"Je ne suis pas intéressé par ce que tu fais pour vivre,

Je veux savoir ce qui brûle en toi et si tu oses rêver la réalisation de ce que tu portes dans le coeur.

 

Je ne suis pas intéressé par ton âge,

Je veux savoir si tu prends le risque de passer pour un fou au nom de l'amour, de tes rêves et de l'aventure qu'est la vie.

Je veux savoir si tu as touché le centre de la tristesse, si tu as été ouvert aux trahisons de la vie ou si tu es devenu endurci et fermé par peur d'une peine prochaine.

Je veux savoir si tu peux t'asseoir avec la douleur, la mienne ou la tienne, sans bouger pour la cacher, l'amoindrir ou l'arrêter.

Je veux savoir si tu peux être dans la joie, la mienne ou la tienne,

si tu peux danser avec ferveur et laisser l'extase te remplir complètement, jusqu'au bout de tes doigts et de tes orteils, sans me dire "de faire attention, d'être réaliste, et de ne pas oublier les limites de l'être humain".

 

Je ne suis pas intéressé à savoir si ce que tu me dis est vrai,

je veux savoir si tu es prêt à décevoir les autres pour rester vrai avec toi-même et si tu peux supporter d'être accusé de trahison et ne pas trahir ton âme.

Je veux savoir si tu peux être fidèle et donc digne de confiance

Je veux savoir si tu peux voir la beauté, même lorsque ce n'est pas tous les jours bien joli, et si tu nourris ta vie à la Source de Sa Présence.

Je veux savoir si tu peux vivre avec des échecs, les miens ou les tiens, et continuer à te tenir debout au bord du lac en criant comme la pleine lune argentée : OUI !

 

Je ne suis pas intéressé à savoir où tu vis et combien tu gagnes,

Je veux savoir si tu peux te réveiller après une nuit de chagrin et de désespoir, de lassitude ou de douleur, et faire ce qui doit être fait pour les enfants

 

Je ne suis pas intéressé à savoir qui tu es et comment tu es venu jusqu'ici,

Je veux savoir si tu peux te tenir au milieu du feu avec moi et ne pas te dérober.

 

Je ne suis pas intéressé à savoir ce que tu as appris, où tu l'as appris, et qui te l'a enseigné,

Je veux savoir ce qui te nourrit de l'intérieur lorsque tout s'effondre autour de toi.

Je veux savoir si tu peux rester avec toi-même, et si tu jouis vraiment de ta propre compagnie dans ces moments de vide".

 

ORIAH Mountain

 

 

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lun.

20

janv.

2014

1/ Oma et Art

"La véritable mission de l'art, c'est de pouvoir donner aux humains un avant goût, un pressentiment du Ciel."   de Omraam Mikhaël Aïvanhov

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" La Perception du Réel "

de Dr D. CHOPRA

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